Entre les maisons intelligentes, les voitures volantes, les visiophones et les robots ménagers, une invention en particulier est venue m'interpeler. Il s'agissait d'une petite tablette électronique avec un écran, nous permettant de voir des films, écouter des émissions de télévision, lire des livres en entier ainsi que des journaux et aller chercher une foule d'informations sur différents sujets en quelques secondes et tout cela, à la portée de la main.
À l'époque, bien avant que l'Internet vienne prendre une place centrale dans nos vies, j'imaginais qu'on allait devoir faire des mises à jours régulières en allant brancher notre appareil dans une sorte de station-service spécialisée en partage d'information.
Mais en gros, ce que Apple a annoncé hier, le iPad, constitue l'aboutissement d'une technologie que j'attends ni plus ni moins depuis plus d'une vingtaine d'années. À ce moment-là, l'idée d'avoir accès au bout des doigts à toute la culture du monde était à mon sens une énorme révolution. Pouvoir amener avec soi toute sa bibliothèque et l'équivalent en information de plusieurs encyclopédies était le genre de prophétie technologique qui me faisait baver d'envie.
Vous connaissez tous la fameuse question "Quel livre, disque ou film amèneriez-vous sur une île déserte?" Avec le iPad (à condition bien sûr d'être équipé d'une bonne génératrice électrique et d'une bonne connexion Internet sur ladite île), on n'a plus besoin de répondre à cette question.
Louis-José Houde, lors du dernier Gala de l'ADISQ, se questionnait, à propos du iPod, sur la nécessité d'avoir avec soi l'entièreté de sa bibliothèque musicale, plutôt que d'avoir le plaisir de planifier avec soin ce que l'on apporte avec soi lors d'un voyage. Je crois que le fait d'avoir à portée de main tous ces produits culturels n'empêche pas le besoin d'avoir à se préparer avant de partir quelque part. Par exemple, dans quelques semaines, je pars avec des amis en roadtrip vers New York. Même si tous mes disques se retrouvent sur mon iPod, j'aurai quand même préparé à l'avance une liste de lecture musicale de la durée du voyage aller-retour, pour ne pas avoir à me casser la tête sur la route. Il en sera de même avec le iPad.
Vais-je me l'acheter à sa sortie (dans les alentours de ma fête... quelle coïncidence!)? Probablement pas. J'ai encore quelques livres physiques non lus dans ma bibliothèque personnelle et mon Macbook me sert très bien pour jouer à des jeux et aller sur Internet. Aussi, je vais attendre que les prix baissent, que l'offre des fournisseurs de forfaits de données soit plus abordable et j'ai toujours eu comme politique de ne jamais acheter la première génération d'un nouveau bidule (et ça m'a toujours bien servi).
...mais ça va être difficile de résister.
À l'époque, bien avant que l'Internet vienne prendre une place centrale dans nos vies, j'imaginais qu'on allait devoir faire des mises à jours régulières en allant brancher notre appareil dans une sorte de station-service spécialisée en partage d'information.
Mais en gros, ce que Apple a annoncé hier, le iPad, constitue l'aboutissement d'une technologie que j'attends ni plus ni moins depuis plus d'une vingtaine d'années. À ce moment-là, l'idée d'avoir accès au bout des doigts à toute la culture du monde était à mon sens une énorme révolution. Pouvoir amener avec soi toute sa bibliothèque et l'équivalent en information de plusieurs encyclopédies était le genre de prophétie technologique qui me faisait baver d'envie.
Vous connaissez tous la fameuse question "Quel livre, disque ou film amèneriez-vous sur une île déserte?" Avec le iPad (à condition bien sûr d'être équipé d'une bonne génératrice électrique et d'une bonne connexion Internet sur ladite île), on n'a plus besoin de répondre à cette question.
Louis-José Houde, lors du dernier Gala de l'ADISQ, se questionnait, à propos du iPod, sur la nécessité d'avoir avec soi l'entièreté de sa bibliothèque musicale, plutôt que d'avoir le plaisir de planifier avec soin ce que l'on apporte avec soi lors d'un voyage. Je crois que le fait d'avoir à portée de main tous ces produits culturels n'empêche pas le besoin d'avoir à se préparer avant de partir quelque part. Par exemple, dans quelques semaines, je pars avec des amis en roadtrip vers New York. Même si tous mes disques se retrouvent sur mon iPod, j'aurai quand même préparé à l'avance une liste de lecture musicale de la durée du voyage aller-retour, pour ne pas avoir à me casser la tête sur la route. Il en sera de même avec le iPad.
Vais-je me l'acheter à sa sortie (dans les alentours de ma fête... quelle coïncidence!)? Probablement pas. J'ai encore quelques livres physiques non lus dans ma bibliothèque personnelle et mon Macbook me sert très bien pour jouer à des jeux et aller sur Internet. Aussi, je vais attendre que les prix baissent, que l'offre des fournisseurs de forfaits de données soit plus abordable et j'ai toujours eu comme politique de ne jamais acheter la première génération d'un nouveau bidule (et ça m'a toujours bien servi).
...mais ça va être difficile de résister.
1 commentaire:
Sauf qu'il n'a ni de caméra vidéo en avant (pour les vidéophone), ni d'entrée USB.
Il me semble que ces éléments seraient primordiales à ce genre de technologie, non?
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